MAINDOMBE – RDC : L’ONU appelle l’Etat congolais à prendre des mesures sur les responsables de violences
Écrit par FiziMedia sur mars 14, 2019
MAINDOMBE
| RDC: L’ONU appelle l’Etat congolais à prendre des mesures sur les responsables de violences.
Dans un communiqué de presse(source:office un Hugh commisioner for humain rights,OHCHR), l’onu a sorti un rapport détaillant les actes de violences à l’ouest du pays, le rapport selon lequel l’onu appelle le gouvernement dela rdc à poursuivre les responsables et éviter de nouvelles effusions de sang.
L’enquête a pu confirmer qu’aumoins 535 hommes,femmes et enfants ont été tués et 111 autres blessés dans les villes de Tumbo,Bongende et NKOLO ll.
A Genève (Suisse) une enquête menée par la mission d’enquête spéciale sur terrtoire de Yumbi, dans la province de mai-ndombe, à l’ouest du pays révèle que de graves attaques intercommunautaires menées du 16 au 18 décembre 2018 sur quatre sites avaient été planifiées et exécutées avc le soutien de chefs coutumière et pourraient constituer de cas de crimes contre l’humanité.
Le bureau conjoint des N.U aux droits del’homme en rdc a ouvert une enquête après avoir reçu des allégations selon lesquelles 890 personnes auraient été tuées et des milliers d’autres déplacés à la suite d’affrontements entre les communautés Banunu et Batende. Une enquête ayant affirmé les résultats de yumbi, bongende et Nkolo.
En outre, près d’un millier de bâtiments, principalement les écoles,les églises et les centres de santé ont été détruits et pillés. On estime à 19.000 personnes déplacées par violences, dont 1600 ont traversé le fleuve Congo vers la république du Congo.
Ce rapport donne un bilan de crimes graves: celui d’une fille de deux ans qui était violée et jetée dans une fosse septique ,et celui d’une autre femme brutalement violée après que son enfant de trois ans ait été décapité et son mari tué. Le rapport indique que nombreux habitants ont été tués quand ils voudraient traverser le fleuve Congo, d’autres étaient brûlés vifs et blessés.
Par ailleurs, les assaillants ont mutilé les corps de victimes, En les coupant les têtes, les membres et les organes génitaux sexuels.
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L’enquête conclut que ces crimes orchestrés à yumbi pouvaient constituer des crimes contre l’humanité, de meurtre, de torture, de viol et d’autres formes de violences sexuelles, ainsi que de persécution.
Le rapport souligne que ces violences ont été Facilitées par le manque d’action del’Etat et l’echec des autorités provinciales à renforcer la sécurité.,Et il met en garde l’etat contrngolais contre le risque de reprise des violences.
Des nouveaux cas pourraient encore avoir lieu à tout moment dans le maindombe ou Équateur, compte tenu dela tension entre les deux communautés associées à ces rumeurs de représailles, indique le rapport.
La représentante spéciale des N. U en rep. dem.du Congo, Leila Zerrougui a appelé à des mesures immédiates afin de rétablir l’autorité del’Etat et créer le retour sûr et volontaire des déplacés.
<>,celle-ci permettra même un bon déroulement de processus électoral redaredé dans cette partie du pays prevu ce 31 Mars 2019.
La haute-commissaire des nu aux droits del’homme,Michelle bachelet, souligne que la justice et la responsabilité del’Etat est importante,afin d’établir les faits et que les responsables rendent compte. Il était digne que les auteurs de ces actes soient punis et que les victimes obtiennent la justice et l’assistance.
Le bureau conjoint des nu aux droits del’homme créé en 2008,est la division des droits del’homme dela monusco et le Bureau du haut-commissaire des nu aux droits del’homme en rdc, precise-t-il.
Rédaction
-Faraja fmure
-Enoch aluta
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